Bon, beh, on r'met ça...Chaque année l'eurovision est un moment sacré, à ne pas rater..Cette année, on est super bien représenté avec S. Tellier, qui je l'espère va cartonner ...Rendez vous le 24 Mai, pour un picolo-eurovision, zavez encore quelques jours pour choisir votre pays..Je prends l'Allemagne, comme d'hab (sans savoir ce qu'ils vont faire), on ne change pas une équipe qui perd..mercredi 30 avril 2008
picoloeurovision
Bon, beh, on r'met ça...Chaque année l'eurovision est un moment sacré, à ne pas rater..Cette année, on est super bien représenté avec S. Tellier, qui je l'espère va cartonner ...Rendez vous le 24 Mai, pour un picolo-eurovision, zavez encore quelques jours pour choisir votre pays..Je prends l'Allemagne, comme d'hab (sans savoir ce qu'ils vont faire), on ne change pas une équipe qui perd..Pour Erwan...même s'il n'est pas le seul à galérer!!
Recrutement des enseignants-chercheurs : la cooptation est mise en cause
A l'université, on recrute entre soi. Souvent dénoncée, l'endogamie du monde académique n'avait jamais été quantifiée. Pour la première fois, deux sociologues, Olivier Godechot, chercheur au CNRS, et Alexandra Louvet, doctorante, ont calculé l'ampleur du phénomène qui amène les universités à privilégier systématiquement le recrutement de leurs anciens docteurs à des postes d'enseignants-chercheurs (maîtres de conférence et professeurs).
Ces travaux, consultables sur le site Internet La vie des idées, sont éloquents. Toutes universités et disciplines confondues, les candidats locaux ont dix-huit fois plus de chances que les candidats extérieurs d'obtenir un poste. Pour certaines disciplines ou universités, ce facteur peut atteindre 50 voire 500 ! Ce "localisme" ne poserait pas problème s'il ne battait en brèche les principes d'équité entre les candidatures. Il soulève à plus long terme la question de la qualité de l'enseignement et de la recherche universitaires.
Aucune discipline n'y échappe. Il n'est pas l'apanage des sciences humaines, dont la valeur des travaux est souvent jugée plus subjective. Si la philosophie semble la discipline la moins endogame, l'informatique, la chimie et les sciences de l'ingénieur privilégient la cooptation. "La dépendance de la recherche à l'égard d'équipements lourds et rares situés dans un petit nombre de laboratoires peut conduire à des phénomènes d'immobilité", analysent les auteurs de l'étude.
De même, les sciences de l'ingénieur ou de la chimie, propices au développement de partenariats locaux avec des industriels, favoriseraient une certaine sédentarité. L'étude permet aussi de dresser une typologie des universités. Les établissements parisiens sont ceux qui favorisent le moins les recrutements locaux. Les petites universités de province, de création récente, qui produisent moins de docteurs sont les plus enclines à avoir recours à cette pratique.
A partir de la base des 212 987 thèses soutenues en France entre 1972 et 2000, et après de multiples recherches croisées, qui leur ont permis de reconstituer les parcours de 13 000 docteurs devenus directeurs de thèse, les auteurs montrent que cette pratique courante a été en forte croissance jusqu'à la fin des années 1980. Jusqu'à présent, le phénomène s'appréhendait à l'aune des enquêtes publiées par le ministère de l'éducation nationale. A première vue, le recrutement local des enseignants-chercheurs n'apparaissait pas comme un problème. Entre 2002 et 2007, selon ces statistiques, 30 % des maîtres de conférence étaient recrutés par l'université qui leur avait délivré leurs diplômes de doctorat.
La réalité est plus complexe. " Les chiffres produits par le ministère permettent en réalité seulement de mesurer la part du recrutement local mais pas le localisme, c'est-à-dire de la préférence systématique pour les candidats locaux, explique Olivier Godechot. Ainsi, un candidat local avait 12 fois plus de chances d'obtenir un poste qu'un autre sur la période 1972-1976 ; c'était 24 fois plus entre 1987 et 1991", souligne le chercheur. Le plus grand nombre d'établissements produisant des docteurs et, par ricochet, l'augmentation des candidatures extérieures ont conduit les universités à favoriser encore plus les locaux.
A partir du milieu des années 1990, des associations de doctorants et d'enseignants-chercheurs ont dénoncé la cooptation. Des pratiques plus transparentes ont aussi été mises en place. Ces deux raisons ont, selon les auteurs, contribué à freiner l'expansion du localisme.
COMITÉS DE SÉLECTION
Malgré ses limites, l'évaluation a le mérite de susciter le débat sur un phénomène encore tabou dans l'université. "Le localisme n'est pas la seule forme d'autorecrutement, considère Olivier Godechot. Les réseaux d'anciens issus de la même école ou université, la proximité personnelle avec le jury, peuvent produire les mêmes travers." Pour le chercheur, des régulations permettraient de rendre plus juste le recrutement : l'interdiction faite à une université de recruter comme maître de conférence un candidat qui a obtenu le doctorat en son sein depuis moins de quatre ans, par exemple.
Les dispositions de la loi sur les libertés et responsabilités des universités (LRU) sont moins radicales. Les anciennes commissions de spécialistes sont remplacées par des comités de sélection ouverts à des membres extérieurs de l'université. Reste à savoir si elles réussiront à limiter le localisme comme l'ont toujours défendu les partisans de la réforme ou à ne développer que d'autres formes de clientélisme.
Catherine Rollotvendredi 25 avril 2008
Orléans, le 2 Juillet 2008
Bonne surprise, en se baladant dans les rues de Bourges samedi dernier (dans le cadre du printemps de Bourges), on nous tend des flyers (beaucoup de flyers..) pour divers festoches, concerts...Et là, au milieu des autres, le programme du festival de Jazz d'Orléans 2008: http://www.orleans.fr/orleansjazz/Avec Herbie Hancock, Thomas Dutronc, Manu Katché entre autres..bien..
Et le truc, c'est qu'à Orléans, la ville profite du fait que des scènes soient montées dans le cadre du festival de Jazz, pour en garder une quelques jours supplémentaires et faire un concert gratuit ouvert à tous (ça, c'est chouette), derrière la cathédrale, dans un endroit plutôt joli...et là, je vous le donne en mille, le programme c'est:
Nada Surf, Eze3kiel, French Cowboy et je ne sais plus quoi...de 17h à 01h du mat. Si zêtes intéressés, on déplie le clic clac (02 Juillet 2008, à vos agendas)..
jeudi 24 avril 2008
Et 6 semaines de rab'
mardi 22 avril 2008
photos du craquage..
mercredi 9 avril 2008
Craquage
Allez et puis merde...vendredi, samedi, dimanche, lundi, mardi, on craque...ras le bol du gris, du froid, du grésil, de la pluie, on se casse dans le sud. Direction Cassis, Aubagne, Marseille, en espérant que le temps sera pas trop pourri, mais même s'il pleut, il fera toujours moins froid qu'ici...Pas eu de vacances depuis Noël, les dossiers, les talks (encore un ici demain, bouhouhoh), les posters pour l'EGU, le taff du quotidien, argggg...Alors zou, on file en voiture demain soir, avec une étape (on sait pas encore où), et hop en Provence..enfin, si la voiture déconne pas trop, hihii, mais bon, elle est neuve et sensée fonctionner correctement quand même..je vous raconte au retour..Bon courage.
a+